À la suite de la chronique L'essence de la putrescence mise en ligne avant-hier, un lecteur m'a fait parvenir un dessin que je ne pouvais garder pour moi tout seul. Il s'agirait de la version moderne du Passage de la mer Rouge qui a sauvé les Israélites de l'armée égyptienne.
Caricature de Awantha Artigala |
Seul son auteur, un illustrateur sri-lankais attaché au Daily Mirror de Colombo, saurait nous dire s'il a croqué la scène juste après le passage des disciples d'Alex Werzberger, ce porte-parole de la secte satmar qui fréquente la synagogue-dépotoir juste derrière le YMCA de l'avenue du Parc.
Parlant de Werzberger, en 2010, je m'étais servi du célèbre récit biblique pour dénoncer le trafic d'alcool illégal qui avait lieu dans cette même synagogue délinquante ainsi que dans une autre synagogue satmar située au 6019 Durocher.
En dépit des reportages et des saisies effectuées par les forces de l'ordre, Werzberger niera fermement que des membres de la communauté hassidique soient impliqués dans une activité de contrebande d’alcool. Il soutiendra même que sa communauté était victime de harcèlement de la part de la police
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Malgré les photos croquées sur le vif devant la synagogue du 5555 Hutchison, le vieil Alex qui me poursuivait en justice avec les Rosenberg ira jusqu'à tenter de faire croire à l'honorable juge Claude Dallaire de la Cour supérieure du Québec que ces caisses de vin contenaient, en fait, des vieux livres sacrés inutilisables qui ne pouvaient, !גאָט פאַרווער (God Forbid!), être envoyés au dépotoir. Il fallait être sur place pour voir la tête de la juge.
Alex est un sacré farceur, mais je ne veux surtout pas vous en dire trop, car je pourrais être tenté de faire une troisième chronique sur la voyoucratie. Mais, de grâce, ne le dites à personne!