tag:blogger.com,1999:blog-4927820104593547418.post1155188332601841567..comments2024-03-01T12:29:34.797-05:00Comments on Accommodements Outremont: LE TEMPS DES CHOIX - LE CHAOS OU L'HARMONIE SOCIALElajochhttp://www.blogger.com/profile/11156965066633466239noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-4927820104593547418.post-14386276324453413922008-07-08T23:56:00.000-04:002008-07-08T23:56:00.000-04:00Gabrielle,Je n’ai rien contre une bonne intégratio...Gabrielle,<BR/><BR/>Je n’ai rien contre une bonne intégration des Hassisim dans le société québécois. Le problème, c’est qu’ils ne veulent rien savoir d’une telle intégration. Au contraire, alors que plus de la moitié des hommes hassidim ne travaillent pas (ils prient!), ils veulent profiter de certains avantages économiques (soins médicaux gratis, bien-être social). Par contre, ils veulent conserver leur vie sociale et religieuse totalement en marge. De plus, après avoir lu certains livres d’Israel Shahak et de Norton Mezvinsky (disponibles à la bibliothèque d’Outremont ou chez Amazon.com), tout indique qu’un bon nombre de Hassidim sont élevés dans la méfiance, quand ce n’est pas de l’aversion et de la répulsion à l’égard du monde extérieur.<BR/><BR/>Pour ce qui est des “délocalisations”, c’est déjà monnaie courante chez l’être humain. Dans l’édition de The Economist du 21 juin 2008 (p. 21, Political Segregation: The Big Sort), on parle précisément de cette tendance à préférer vivre avec des gens qui nous ressemblent. Le degré d’incompatibilité culturelle -- qui correspond souvent avec des différences ethniques – est en cause, mais vous avez raison d’évoquer le fait que plusieurs autres différences entrent en ligne de compte. The Economist parle des différences politiques (aux É.U.)! Mais une différence politique peut être un façade qui permette de cacher bien d’autres différences plus fondamentales.<BR/> <BR/>Vous faites allusion à la “ghettoisation”. Pour moi, un ghetto n’est pas seulement une enclave ethnique: c’est une prison. On ne pouvait pas sortir du ghetto de Varsovie (sauf pour mourir dans un camp de concentration). L’enclave des Hassidim à Boisbriand n’est pas un prison.<BR/><BR/>Tannétannéhttps://www.blogger.com/profile/07558583310597371984noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4927820104593547418.post-3485961363163113862008-06-30T04:15:00.000-04:002008-06-30T04:15:00.000-04:00@Tanné, Si vous voulez commencer à convaincre des ...@Tanné, Si vous voulez commencer à convaincre des personnes de déménager dans un endroit où elles seraient susceptibles de ne gêner personne ou de n'être gênées par trop de personnes, bonne chance... et bonjour la ghettoïsation.<BR/><BR/>Selon quels critères envisagez-vous ces délocalisations? Toutes les dérives seraient permises: si "l'enfer c'est les autres", pourquoi ne pas éloigner un jour les vieux, les pauvres, tous les étrangers, les jeunes, les chômeurs, les familles avec enfants bruyants, mes voisins qui me pourrissent la vie avec leur tondeuse à gazon, ceux qui ne pensent/votent pas comme moi, etc.?<BR/><BR/>Ne conviendrait-il pas au contraire de convaincre ceux qui ne respectent pas les règles élémentaires de vie en commun et les règlements municipaux de jouer le jeu de l'intégration ?Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4927820104593547418.post-16861457859613233612008-06-29T20:28:00.000-04:002008-06-29T20:28:00.000-04:00Tout ce que je vois dans ce blogue me rappelle plu...Tout ce que je vois dans ce blogue me rappelle plusieurs expériences personnelles. Cela m’amène à me poser une question. Y a-t-il une possibilité raisonnable qu’il puisse devenir agréable de vivre avec nos voisins hassidim et que nous n’ayons plus envie de déménager?<BR/> <BR/>Certains sont si désagréables qu’on ne se surprend pas qu’en Israël, de nombreux Juifs non-hassidim connaissent les mêmes difficultés que nous avec les Hassidim (voir Les Hommes en Noir, le reportage suisse qui circule présentement en DVD dans l’arrondissement).<BR/><BR/>Je sais que c’est difficile pour des gens qui ne demeurent pas près de cette communauté de comprendre nos frustrations et notre exaspération. Il y a quelques années, Janet Bagnall, du journal The Gazette a suggéré que des groupes comme les Amish et les Hassidim sont bien mieux lorsqu’ils s’établissent là où les autres ne peuvent pas les déranger et où ils ne dérangent pas d'autres. Sa suggestion serait-elle bonne?<BR/><BR/>Par exemple, les Hassidim qui ont leur propre territoire à Boisbriand semblent avoir trouvé une façon de minimiser les frictions avec les non-Hassidim. Devons-nous continuer à tolérer toutes ces frictions et à nous battre avec nos élus qui donnent l'impression de vouloir tout simplement plaire aux Hasidim qui crient plus fort et qui bafouent les règlements municipaux? Est-ce que les Hassidim vont continuer à contrevenir aux règlements parce qu’ils ne leurs conviennent pas, comme le laissait entendre leur porte-parole dans le reportage de Radio-Canada du 26 mai dernier?<BR/> <BR/>Ne vaudrait-il pas mieux convaincre les Hassidim (qui, pour le moment, sont un groupe minoritaire, à Outremont) à déménager dans des enclaves comme Boisbriand, New York…ou Israel?<BR/><BR/>Pensez-y.<BR/><BR/>Signé: Tannétannéhttps://www.blogger.com/profile/07558583310597371984noreply@blogger.com